Revue composée de sept articles :
L’heure c’est l’heure. Petite histoire du temps ferroviaire
C’est bien connu, pas de train sans horaires. Et pas non plus d’horaires sans horloges et, si possible, des horloges qui soient à l’heure !
Guingamp, une locomotive dans le ravin
Retour sur un article de l’Ouest-Eclair du 24 août 1909 avec illustration du déraillement.
Promenade aux environs de Saint-Brieuc… en l’année 1910
Le chemin de fer départemental n’a que quelques années. L’exploitation du tout jeune réseau va donner une impulsion significative à un tourisme jusqu’alors peu développé faute de moyen de transport collectifs. Jugez-en plutôt !
Appareils de sécurité du champ de tir de Langueux
Le 21 mars 1900, le premier réseau du chemin de fer d’intérêt local des Côtes-du-Nord est déclaré d’utilité publique. On trouve parmi les lignes adoptées celle de Saint-Brieuc à Moncontour. Après que le tracé définitif soit arrêté en 1902, des conférences sont organisées entre toutes les parties concernées (service des ponts et chaussées, service maritime, génie militaire, etc.).
La naissance du Petit Train dans le Trégor
En janvier et février 1980, le journal « Le Trégor » a publié, sous la plume de Gildas Le Bozec, une série d’articles sur la naissance des lignes départementales du Trégor, à savoir : Plouëc – Tréguier, Lannion – Perros-Guirec – Tréguier et Lannion – Plestin-les-Grèves. S’appuyant sur la presse locale « Le Journal de Lannion », conservateur, et « Le Lannionais », républicain, Gildas Le Bozec nous fait revivre les débats qui ont vu le jour lorsqu’il s’est agi de fixer les tracés de ces lignes. A une époque, où la séparation de l’Eglise et de l’Etat était au coeur de la vie politique, le Petit Train servit de prétexte à de sérieuses empoignades ! Il n’en demeure pas mois qu’il fut un véritable enjeu, tout autant politique qu’économique et la passion qu’il déchaîna parfois était à la hauteur des espoirs qu’il suscitait.
Nous reproduisons ici, avec l’aimable autorisation du journal « Le Trégor » et de l’auteur Gildas Le Bozec, les articles des 19, 26 janvier et 2 février 1980, portant sur la ligne Perros – Lannion – Tréguier.
Hygiène des voyageurs
Les chemins de fer départementaux, comme leur nom l’indique, dépendaient du Conseil général des Côtes-du-Nord. A l’occasion des deux sessions ordinaires annuelles, les conseillers généraux présentaient des voeux relatifs aux chemins de fer départementaux qui après avoir été étudiés par la Commission des chemins de fer du Conseil général, étaient discutés, puis entérinés ou rejetés par un vote de l’assemblée départementale.
L’adieu au Petit Train
Chanson sur l’air de « Sous les ponts de Paris »